04
juin

Décès de Paul Malartre, ancien secrétaire général de l'Enseignement catholique

L’Enseignement catholique du Morbihan rend hommage à Paul Malartre, secrétaire général de l’Enseignement catholique de 1999 à 2007.

En lançant les Assises de l’Enseignement catholique, il a incité chacun à retrouver les racines profondes de la mission éducative : un regard qui espère, des relations qui construisent et l’éternité comme horizon. Il nous a rappelé que, si chaque enfant est un don de Dieu, l’esprit de l’école doit le manifester.

 

Crédits : PHOTOPQR/OUEST FRANCE

Paul Malartre nous a quittés

L'Enseignement catholique apprend avec tristesse la disparition de Paul Malartre, qui fut son secrétaire général de 1999 à 2007.
Ses pensées et prières l'accompagnent et il s'associe à la peine de ses proches, solidairement avec Monseigneur Ulrich, Président du Conseil épiscopal pour l’Enseignement catholique.

 

"Un porteur d'espérance éducative"

Communiqué du 1er juin 2020

 

Monseigneur Laurent Ulrich
Archevêque de LILLE
Président du Conseil épiscopal pour l’enseignement catholique

 

 

Philippe Delorme
Secrétaire général
de l'Enseignement catholique

 

Paul Malartre vient de décéder à l’âge de 74 ans après une année de maladie.

Ce professeur de philosophie, ce chef d’établissement puis directeur diocésain de l’enseignement catholique à Saint Étienne, et enfin Secrétaire général de l’enseignement catholique de 1999 à 2007 a été un initiateur de grande qualité et surtout un porteur de l’espérance éducative.

Il a perçu très tôt les chances de renouveau que l’Enseignement catholique portait en lui-même : donner à voir que l’on ne saurait enseigner sans éduquer, montrer que l’on ne saurait éduquer sans une communauté, faire en sorte que la communauté éducative soit réellement composée de tous ceux qui interviennent en faveur de l’élève - de l’enseignant et de la famille au personnel de service et au gestionnaire ... Et que cette communauté éducative sache qu’elle cherchera sa référence dans l’évangile et ses pratiques dans le dialogue éducatif au nom d’une conception chrétienne de l’homme.

Ce croyant très profond a été capable de faire partager sa passion d’éduquer et sa vision. Ce chrétien aura été un serviteur de l’Eglise en étant un tel serviteur de l’éducation. L’Église, en France, lui doit beaucoup.

À son épouse et à sa famille, nous disons notre profonde reconnaissance, nous partageons leur peine et leur prière dans l’Espérance.

Voir l'article du SGEC